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Частный детектив. Владивосток.

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Examinateur.
La vraie histoire s'est produite il n'y a pas si longtemps à Karaganda. Un résident de Temirtau, un étudiant de la KSU du nom de Buketov, a fait un certificat d'un agent de la sécurité présidentielle sur un ordinateur et a rédigé un message spécial, l'écrivant comme s'il avait été envoyé par l'administration présidentielle pour vérifier comment les fonctionnaires respectent les règles de la circulation.
L'administration de la police de la circulation a cru les papiers de tilleul et pendant 5 jours, l'étudiant a vérifié le travail du personnel et a personnellement arraché les vitres teintées des voitures n'appartenant pas aux dernières personnes du parquet financier et d'autres agences gouvernementales.
"Il s'est comporté avec beaucoup de confiance, il ne fait donc aucun doute qu'il n'était pas un employé des services de sécurité présidentiels", ont écrit les employés du département de la police financière dans leurs notes explicatives, sur les véhicules desquels l'étudiant a personnellement déchiré la teinte des fenêtres.
De la même manière, la direction du département de la police de la circulation était justifiée, ce qui accordait à un étudiant de troisième année de la faculté d'histoire de la KSU des droits spéciaux - lui donnant l'uniforme d'un policier de la circulation et un véhicule spécial.
C'était le soir, il n'y avait rien à faire. Un étudiant de 20 ans de Temirtau en décembre 2008, ennuyé chez lui le soir, a décidé de s'amuser. Il a trouvé dans
Sur Internet, un exemple de certificat de service d'un agent de sécurité présidentiel (SOP) y a inséré ses données personnelles et les a affichées sur une imprimante. Ensuite, j'ai tapé le mot "Message spécial" sur l'ordinateur. Et ci-dessous se trouve le texte: "Nous envoyons notre employé au département de la police de la circulation du département des affaires intérieures de la région de Karaganda pour mener des activités visant à mettre fin aux violations de la circulation." Et la signature: "le chef des services de sécurité présidentiels du président SK4 Major B. E.
Koktebaev. "
L'élève a proposé ce poste et ce nom de famille, après quoi il a affiché le texte sur une feuille de papier ordinaire et l'a signé lui-même.
Avec ce faux message spécial et l'ID d'un officier SOP, l'étudiant est venu au département régional de la police de la circulation et, montrant les documents à l'officier de permanence, a demandé à être emmené à la tête. Il a été immédiatement escorté au bureau de Bolat Akhimbekov.
En voyant le message spécial de la SOP, le chef du département de la police routière ne doutait pas qu'il s'agissait d'un original. Il a immédiatement appelé ses adjoints et a ordonné qu'une voiture de patrouille avec deux inspecteurs et un uniforme spécial pour vérifier les routes de Karaganda soit donnée à un seigneur d'Astana. AVEC
Du 26 décembre au 1er janvier, le gars contrôlait le travail des policiers de la circulation qui patrouillaient dans les rues centrales du centre régional.
La police de la route accueillante voulait louer un appartement ou un hôtel pour le compagnon de la capitale, mais il a poliment refusé, disant qu'il passerait la nuit à Temirtau, où vit sa mère. La police ne savait pas que Temirtau était sa ville natale et que chaque soir il rentrait chez lui.
Des soupçons selon lesquels le co-équipier d'Astana était un imposteur sont apparus au chef du service de police de la circulation, Akhimbekov, après quelques heures. Il lui semblait étrange qu'aucun des membres du comité de la police de la circulation ne l'ait averti du contrôle et du voyage à venir à Karaganda, un coéquipier. Akhimbekov a été surpris par le jeune âge du gars: à 20 ans, il est impossible de travailler dans une structure aussi sérieuse.
Akhimbekov a immédiatement contacté le DKNB et a demandé de vérifier si une telle personne travaillait dans le SOP. Pour une raison quelconque, les Chekists ont mis plusieurs jours à obtenir une réponse.
Entre-temps, ils ont récupéré les dossiers, l'étudiant de Temirtau est sorti en entier - il a patrouillé dans les rues de la ville en uniformes spéciaux et vérifié la qualité du travail des inspecteurs.
Avec un contrôle au plancher financier, l'étudiant a également voulu vérifier comment les employés de la police financière régionale se conforment aux exigences du code de la route. L'équipe de la police de la circulation s'est rendue dans la cour du plancher financier et un étudiant de KarSU a personnellement arraché du film teinté des vitres avant des voitures des fonctionnaires du département.
Bien sûr, les majors et les colonels n'aimaient pas cela, mais devant eux était un représentant des services de sécurité présidentiels! Ses exigences pour retirer le film teinté du verre ont été remplies par tous sans exception.
Et à ce moment-là, les employés du ministère de la Sécurité nationale avaient appris que dans le SOP, il n'y avait aucun employé portant ce nom. Il n'y a pas de patron Koktebaev, dont la signature figure sous le titre de voyage. En général, ce département n'a autorisé personne à se rendre à Karaganda avec un chèque. Le contrôle du respect des règles de circulation ne s'applique pas du tout à ses fonctions.
Les patrons locaux se sont saisis la tête. Un étudiant de la KSU a été arrêté le soir du Nouvel An - le 1er janvier 2009 à 4 heures du matin alors que lui et d'autres inspecteurs participaient à des patrouilles dans la rue Gogol. Les travailleurs de DKNB ont saisi dans sa poche une pièce d'identité officielle et un faux message spécial.
Pour sa défense, l'élève de KarSU a déclaré avoir contrefait un certificat et un message spécial afin de se «sentir» dans la peau d'un employé du SOP et d'un inspecteur de la police de la circulation. Il a dit qu'il avait toujours voulu ressentir le pouvoir et rétablir l'ordre dans la société. Il a donc retiré la teinte des voitures des fonctionnaires.
Il a été inculpé de falsification d'un document officiel et de son utilisation (article 325 du Code pénal de la République du Kazakhstan) et d'avoir conféré le titre de représentant des autorités (article 328 du Code pénal de la République du Kazakhstan).
Innocent!
Une enquête a duré longtemps, après quoi l'enquêteur a renvoyé l'affaire pénale devant les tribunaux. Mais récemment, le parquet régional a refusé de soutenir l'accusation dans cette affaire. Le superviseur a décidé que l'étudiant n'avait pas commis de crime. Et toutes ses ébats sont le résultat de la négligence des agents de la police de la circulation. Le parquet régional a conclu que le jeune homme n'avait pas falsifié le document, mais l'avait simplement inventé.
"... Le formulaire du document de la carte d'identité de l'employé de la SOP n ° 0000501 saisi au résident détenu M. Temirtau ne correspond pas au certificat d'échantillon spécial", a conclu l'examen médico-légal.
En outre, le parquet n'était pas d'accord avec l'enquêteur en vertu de l'article
"Attribuer le titre de représentant de l'autorité." Après tout, l'étudiant n'a pas rédigé personnellement les protocoles, ce qui signifie qu'il n'a pas repris l'autorité des autres. Et le fait qu'il ait exigé des fonctionnaires de ne pas aller avec des vitres teintées est juste! Chaque citoyen du Kazakhstan a le droit d'exiger le respect des règles de circulation.
Récemment, le parquet a rendu une décision de clore l’affaire pénale en raison de l’absence de corpus delicti dans les actes de l’étudiant.
Il est bon que l'élève se soit avéré ne pas être un mal, mais un bon farceur et a mis en avant des exigences légales pour enlever la teinte, et n'a pas extorqué de l'argent aux conducteurs en infraction ou n'a pas commis un autre crime. Et les autorités chargées de l'application des lois devraient désormais être plus prudentes et ne pas croire le premier venu et ses documents réalisés sur une photocopieuse.
Un étudiant de Temirtau, qui a organisé cette émission et causé beaucoup de problèmes aux forces de l'ordre, s'est excusé auprès d'eux et a promis de ne plus plaisanter.
 
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Ревизор.
Реальная история произошла не так давно в Караганде. Житель Темиртау, студент КарГУ имени Букетова сделал на компьютере удостоверение сотрудника службы охраны президента и придумал спецсообщение, написав в нем, будто его направили из администрации президента проверять, как госслужащие соблюдают правила дорожного движения.
Начальство управления дорожной полиции поверило липовым бумагам, и в течение 5 дней студент проверял работу личного состава и лично срывал тонировку со стекол машин, принадлежащих далеко не последним людям в финполе и других госструктурах.
"Он вел себя очень уверенно, поэтому сомнений в том, что он вовсе не сотрудник службы охраны президента, не возникло", – так написали в своих объяснительных сотрудники департамента финансовой полиции, с машин которых на территории финпола студент лично срывал тонировку со стекол.
Таким же образом оправдалось и руководство управления дорожной полиции, наделившее студента третьего курса исторического факультета КарГУ особыми правами – выдав ему форму сотрудника дорожной полиции и спецмашину.
Дело было вечером, делать было нечего 20-летний студент из Темиртау в декабре 2008 года, заскучав вечером дома, решил поразвлечься. Он нашел в
Интернете образец служебного удостоверения сотрудника службы охраны президента (СОП), вставил туда свои анкетные данные и вывел его на принтере. Затем набрал на компьютере слово "Спецсообщение". А ниже текст: "Направляем в управление дорожной полиции департамента внутренних дел Карагандинской области нашего сотрудника для проведения мероприятий, направленных на пресечение нарушений правил дорожного движения". И подпись: "начальник АП службы охраны президента SK4 майор Б. Е.
Коктебаев".
Студент придумал эту должность и фамилию, после чего вывел текст на обычный лист бумаги и сам расписался.
С этим липовым спецсообщением и удостоверением сотрудника СОПа студент пришел в областное управление дорожной полиции и, показав дежурному документы, попросил проводить его к начальнику. Его тут же проводили в кабинет к Болату Ахимбекову.
Увидев спецсообщение из СОПа, начальник управления дорожной полиции не усомнился в том, что это подлинник. Он тут же вызвал своих заместителей и велел выдать господину из Астаны патрульную машину с двумя инспекторами и спецформу для проведения проверки на дорогах Караганды. С
26 декабря по 1 января парень контролировал работу дорожных полицейских, которые патрулировали центральные улицы областного центра.
Гостеприимные дорожные полицейские хотели снять для столичного соповца квартиру или гостиницу, но он вежливо отказался, сказав, что будет ночевать в Темиртау, где живет его мать. Полицейские не догадывались, что Темиртау – его родной город и что каждый вечер он возвращается к себе домой.
Подозрения о том, что соповец из Астаны самозванец, появились у начальника управления дорожной полиции Ахимбекова уже через несколько часов. Ему показалось странным, что никто из комитета дорожной полиции не предупредил его о предстоящей проверке и командировке в Караганду соповца. Удивил Ахимбекова и молодой возраст парня: в 20 лет невозможно работать в столь серьезной структуре.
Ахимбеков тут же связался с сотрудниками ДКНБ и попросил проверить, работает ли в СОПе такой человек. Чекистам почему-то понадобилось аж несколько дней, чтобы получить ответ.
А пока они собирали досье, темиртауский студент отрывался по полной – он в спецформе патрулировал улицы города и проверял качество работы инспекторов.
С проверкой в финпол Более того, студенту захотелось проверить, как соблюдают требования правил дорожного движения работники областной финансовой полиции. Экипаж дорожной полиции заехал во двор финпола, и студент КарГУ лично сдирал тонированную пленку с передних стекол автомобилей должностных лиц департамента.
Разумеется, майорам и полковникам это не нравилось, но ведь перед ними – представитель из службы охраны президента! Его требования снять тонированную пленку со стекол исполняли все без исключения.
А к этому времени работники департамента КНБ узнали, что в СОПе нет сотрудника с такой фамилией. Нет и начальника Коктебаева, чья подпись стоит под командировочным документом. И вообще данное ведомство никого не уполномочивало ехать в Караганду с проверкой. Контроль за соблюдением правил дорожного движения вообще не относится к его функциям.
Местные начальники схватились за головы. Студента КарГУ задержали в новогоднюю ночь – 1 января 2009 года в 4 часа утра, когда он с другими инспекторами принимал участие в патрулировании улицы Гоголя. Работники ДКНБ изъяли в его кармане служебное удостоверение и липовое спецсообщение.
В свое оправдание студент КарГУ заявил, что подделал удостоверение и спецсообщение, чтобы "почувствовать себя в шкуре" работника СОП и инспектора дорожной полиции. Он рассказал, что всегда мечтал почувствовать власть и наводить в обществе порядок. Поэтому и снимал тонировку с автомобилей госслужащих.
Ему предъявили обвинение в подделке официального документа и его использовании (статья 325 УК РК) и в присвоении звания представителя власти (статья 328 УК РК).
Невиновен!
Длительное время шло расследование, после чего следователь направил уголовное дело в суд. Но недавно областная прокуратура отказалась поддерживать обвинение по этому делу. Надзорный орган решил, что студент не совершал преступлений. А все его выходки – результат халатности должностных лиц дорожной полиции. Областная прокуратура пришла к выводу, что молодой человек не подделывал документ, а просто придумал его.
"…Бланк документа удостоверения сотрудника СОП за № 0000501, изъятого у задержанного жителя Темиртау М. , не соответствует специальному образцу удостоверения", – сказано в заключении судебно-технической экспертизы.
Кроме того, прокуратура не согласилась со следователем и по статье
"Присвоение звания представителя власти". Ведь студент лично не оформлял протоколы, а значит, не брал на себя чужих полномочий. А то, что он требовал от госслужащих не ездить с тонированными стеклами, – это правильно! Требовать соблюдения правил дорожного движения вправе каждый гражданин Казахстана.
Недавно прокуратура вынесла постановление о прекращении уголовного дела за отсутствием в действиях студента состава преступления.
Хорошо, что студент оказался не злым, а добрым шутником и выдвигал законные требования снять тонировку, а не вымогал деньги с водителей-нарушителей или не сотворил другое преступление. А правоохранительным органам впредь следовало бы быть внимательнее и не верить первому встречному и его документам, сделанным на ксероксе.
Студент из Темиртау, устроивший это шоу и причинивший массу неприятностей правоохранительным органам, извинился перед ними и пообещал больше так не шутить.

@InfoPoisk

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BON ÉLÈVE !!!!!
 
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МОЛОДЕЦ СТУДЕНТ!!!!!

Матушкин Андрей Николаевич

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Спасибо!

Частный детектив. Владивосток.

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Детективное агентство. Хмельницкая группа розыска. à dit:
Se sent comme l'école PravdaLaba :) ......;)

Alors peut-être qu'il était ...? : lol:
Andrei, fais une erreur ...!
 
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Детективное агентство. Хмельницкая группа розыска. à dit:
Чувствуется школа ПравдаЛаба:)...... ;)

Так может он и был...? :lol:
Андрей, колись...!

Игорь Коракс

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Une bonne combinaison pour un étudiant, et aussi sécher hors de l'eau. Bien joué, que puis-je dire, talent.
 
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Нехилая комбинация как для студента, еще и сухой из воды вышел. Молодец, что тут скажешь, талант.
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Documents de couverture - 2

La servilité et le reptile répandus devant les puissants, si courants dans la Russie moderne, jouent parfois une cruelle plaisanterie avec les gens. Rossiyskaya Gazeta raconte une histoire qui répète l'intrigue de «l'inspecteur» de Gogol qui s'est produite récemment à Tula. L'impudent fraudeur, qui s'est présenté comme un haut fonctionnaire de l'administration présidentielle, s'est installé pendant un certain temps dans la ville: on lui a donné un bureau dans l'administration, où il a appelé les responsables locaux «sur le tapis», les a réprimandés et extorqué des pots-de-vin. Un fraudeur avec des visites d'inspection a parcouru le quartier dans une limousine qui lui a été attribuée, accompagné de voitures avec des feux clignotants. L'élite locale léchait habituellement le dos de l'invité de la capitale et poussa un soupir de soulagement à son départ. La vérité choquante n'a été découverte que plus tard. Scène silencieuse de puissance verticale. Lisez l'histoire ci-dessous.

Une Mercedes noire avec des numéros de Moscou a roulé jusqu'au bâtiment où se trouve l'Institut d'économie et d'informatique de Toula. Un citoyen respectable à lunettes est sorti d'une voiture prestigieuse avec une aiguille. Le visiteur s'est présenté comme Igor Viktorovich Batoochirov, conseiller du chef du Centre d'assistance au développement économique des régions du Département du contrôle de l'administration présidentielle de la Fédération de Russie, ce qui a également été confirmé par le certificat correspondant délivré le 16 novembre 2004. L'invité a déclaré au recteur de l'institut "les nouvelles les plus désagréables": ils disent qu'avec le classement de quelques malfaiteurs "au sommet", la question de priver l'université de sa licence est en train d'être résolue. Je peux, disent-ils, aider à éviter les problèmes ... pense ...

Quelques jours plus tard, il redescendit à Tula. Cette fois, pour que tout paraisse encore plus solide et solide, le tout nouveau Khlestakov a décidé d'appeler le recteur de l'institut «sur le tapis» non seulement n'importe où, mais dans la «maison blanche» locale. À la veille de son arrivée, Batoochirov a personnellement appelé la salle d'attente de l'inspecteur fédéral en chef dans la région de Toula, s'est appelé un étranger, a mis en garde contre un voyage d'affaires dans la ville des armuriers d'un employé de l'administration présidentielle, a demandé toutes sortes d'aide à un haut fonctionnaire.

Le pointeur téléphonique fonctionnait à cent pour cent. Batoochirova a été chaleureusement accueilli: ils ont fourni une salle de conférence, un téléphone de bureau ... Selon lui, le «conseiller» a appelé devant ses yeux menaçants le personnel du département régional de l'éducation, le recteur de l'institut «condamné à une amende». Assis à la grande table, il lui a montré «l'ordre du ministère de l'Éducation» sur la création d'une commission de vérification de l'université et a promis de régler le «malentendu» pour 15 mille euros.

Le visiteur est entré en fonction de telle manière qu’il a demandé aux responsables de l’appareil de l’inspecteur fédéral en chef de noter leur certificat de voyage et d’appeler le service de police régional pour qu’une voiture d’escorte de la police de la circulation leur soit attribuée. Le même jour, l'homme d'affaires a visité plusieurs lieux publics où il a été aimablement reçu. Ayant causé une légère panique partout, Batoochirov, accompagné d'une voiture de police de la circulation avec un clignotant et un «cracker», a quitté les armuriers qu'il a facilement conquis.
Alors que dans l'aile droite du bâtiment de la "maison blanche", où se trouve l'appareil de l'inspecteur fédéral en chef, ils soupiraient de soulagement: soi-disant, ils l'ont emporté avec un chèque, le recteur de l'institut a néanmoins décidé d'informer l'UFSB de la région de Toula du "rodage" d'un haut fonctionnaire demandant un pot-de-vin. À propos, le directeur de l'université ne doutait pas que le visiteur de Moscou était en fait un gros coup.

D'autres événements ont eu lieu selon le scénario des agents de sécurité de Tula. Certes, il y a eu des mises en scène imprévues. Batoochirov, apparemment, par précaution, n'a pas personnellement pris l'enveloppe avec la monnaie, ayant demandé pour cela Andrey Kipichenko, qui était venu avec lui de Moscou.
Au cours de l'enquête, il s'est avéré que l'escroc a acheté une "croûte" rouge sur Arbat, a imprimé la farce sur l'imprimante, a collé la photo, est venu avec un post pour lui-même, scellé avec une large signature. Sur le site officiel de la présidence, j'ai appris les informations nécessaires sur les pouvoirs du département de contrôle, les fonctionnaires. Armé de ces connaissances, le répartiteur Batoochirov est allé à la conquête de Toula dans la voiture d'un serrurier Kipichenko.

Un tribunal du district de Sovetsky à Toula a reconnu Batoochirov, 40 ans, coupable de tentative de fraude à grande échelle, et l'a condamné à deux ans et deux mois de prison dans une colonie pénale. Andrei Kipichenko est totalement acquitté, le tribunal a estimé que l'accusation n'avait pas prouvé son implication dans la fraude frauduleuse d'un ancien collègue d'un service de taxi.
 
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Документы прикрытия - 2

Повсеместное раболепие и пресмыкание перед властьимущими, столь распространенное в современной России, порой играет с людьми злую шутку. «Российская газета» рассказывает историю, повторяющую сюжет гоголевского «Ревизора», произошедшую недавно в Туле. Нахальный мошенник, представившийся высоким чиновником из администрации президента, на некоторое время обосновался в городе: ему выделили кабинет в администрации, куда он вызывал «на ковер» местных чиновников, отчитывал их и вымогал взятки. Мошенник с визитами-проверками ездил по окрестностям в выделенном ему лимузине в сопровождении машин с мигалками. Местная элита привычно лизала зад столичному гостю и вздохнула с облегчением по его убытию. Шокирующая истина обнаружилась лишь позже. Немая сцена вертикали власти. Историю читайте ниже.

Черный "Мерседес" с московскими номерами подкатил к зданию, где размещается Тульский институт экономики и информатики. Из престижного автомобиля вышел одетый с иголочки солидный гражданин в очках. Визитер представился Игорем Викторовичем Батоочировым - советником руководителя Центра содействия экономическому развитию регионов Контрольного управления администрации президента РФ, что подтверждало и соответствующее удостоверение, выданное 16 ноября 2004 года. Гость сообщил ректору института "пренеприятнейшее известие": мол, с подачи неких недоброжелателей "наверху" решается вопрос о лишении вуза лицензии. Могу, дескать, помочь избежать проблем... думайте...

Через несколько дней снова нагрянул в Тулу. На этот раз, чтобы все выглядело еще солиднее и основательнее, новоиспеченный Хлестаков решил вызвать ректора института "на ковер" не куда-нибудь, а в местный "белый дом". Накануне приезда Батоочиров лично позвонил в приемную главного федерального инспектора в Тульской области, назвался чужим именем, предупредил о командировке в город оружейников сотрудника администрации президента, попросил оказать высокопоставленному чиновнику всяческую помощь.

Телефонная указивка сработала на все сто. Батоочирова встретили радушно: предоставили для работы конференц-зал, служебный телефон... По нему "советник" вызвал перед свои грозные очи сотрудников областного департамента образования, ректора "проштрафившегося" института. Сановно восседая за большим столом, показал ему "приказ министерства образования" о создании комиссии по проверке вуза и за 15 тысяч евро обещал уладить "недоразумение".

Визитер так вошел в роль, что попросил чиновников аппарата главного федерального инспектора отметить свое командировочное удостоверение и позвонить в областное УВД, чтобы ему выделили машину сопровождения ГИБДД. В тот же день делец посетил еще ряд присутственных мест, где был любезно принят. Наведя везде легкую панику, Батоочиров в сопровождении машины ДПС с мигалкой и "крякалкой" отбыл из легко покоренного им города оружейников.
Пока в правом крыле здания "белого дома", где располагается аппарат главного федерального инспектора, облегченно вздыхали: мол, пронесло с проверкой, ректор института все же решился сообщить в УФСБ по Тульской области о "наезде" высокого официального лица, требующего взятку. К слову, руководитель вуза нисколько не сомневался в том, что столичный визитер на самом деле - большая шишка.

Дальнейшие события проходили уже по сценарию тульских чекистов. Правда, не обошлось и без непредвиденных мизансцен. Батоочиров, видимо, из предосторожности конверт с валютой лично брать не стал, позвав для этого приехавшего с ним из Москвы Андрея Кипиченко.
В ходе следствия выяснилось, что аферист купил на Арбате красную "корочку", на принтере отпечатал начинку, вклеил фотку, придумал для себя должность, скрепленную печатью и размашистой подписью. Из официального президентского сайта узнал необходимую информацию о полномочиях Контрольного управления, должностных лицах. Вооружившись этими знаниями, диспетчер Батоочиров на машине слесаря Кипиченко отправился покорять Тулу.

Суд Советского района Тулы признал 40-летнего Батоочирова виновным в покушении на мошенничество в крупном размере, приговорил его к двум годам и двум месяцам лишения свободы в колонии общего режима. Андрей Кипиченко полностью оправдан, суд посчитал, что обвинению не удалось доказать его причастность к мошенническим махинациям бывшего коллеги по работе в службе такси.

Саратов-Алиби

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Oui, 20 ans, prometteur garçon du Kazakhstan. ;)
 
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Да 20 лет, перспективный казахстанский хлопец . ;)
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