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Happy children of divorced parents

Lary

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C'est précisément parce que lors d'un divorce, les conjoints ne peuvent souvent pas approcher correctement la «section» de l'enfant, et l'on pense que le divorce des parents pour enfants deviendra certainement un traumatisme. En fait, les enfants réagiront sûrement calmement à cela si les parents eux-mêmes prennent ce fait tout aussi calmement. Mais le fait est que le divorce en présence d'enfants se produit déjà à un stade où il n'y a aucun moyen de raisonner logiquement - parce qu'ils ont entraîné la situation à la limite. En général, cela se produit souvent: la situation dans la famille est déjà plus que la crise, mais le couple sauve désespérément cette famille "pour le bien des enfants". Ces sacrifices sont-ils justifiés?

Même si les parents cachent soigneusement leur frustration, les enfants le remarqueront toujours. Nous avons déjà dit que l'inconscient est très développé chez les enfants et qu'ils perçoivent le mieux les signes latents de tension dans la famille. Bien sûr, qu'il n'est pas question de bonheur parental s'il y a des frictions constantes, des tensions, une guerre froide et même chaude entre mère et père. Et si la situation avant le divorce s'est produite dans une famille avec enfants, les conjoints doivent d'abord répondre à une question: où sont-ils eux-mêmes - eux, le père et la mère de ces enfants - seront plus heureux: dans cette famille ou en dehors?

Si vous devez vous battre pour le bonheur des enfants, et il s'avère que le bonheur des parents dans cette union est presque impossible - le divorce sera un salut pour les parents et les enfants. Oui, c'est un traumatisme pour un enfant, mais un traumatisme encore plus grand est d'observer comment ces personnes qu'il considérait comme un tout unique et indivisible se querellent et s'éloignent les unes des autres. De plus, les combats ouverts entre les parents et les tensions silencieuses entre eux nuisent à l'enfant.
Et en tout cas, le manque de respect entre les parents, le manque d'honnêteté et de confiance, et même des actions physiques directes (et d'autres signes d'une situation avant le divorce négligée) conduisent au fait que les enfants grandissent avec la conviction que des relations similaires sont autorisées entre d'autres personnes dans la vie. L'enfant considère tout à fait acceptable et la tromperie, l'humiliation morale d'autrui et la violence physique pour atteindre ses objectifs. Les enfants ne grandissent pas avec le meilleur modèle de comportement - comme ils le disent maintenant, ils sont assez criminalisés.
En particulier, il y a vingt ans, on croyait que la famille devait être entretenue à tout prix - qui a dit cela pour le bien des enfants, qui a prétendu que pour le maintien de la moralité, et quelqu'un a affirmé que pour la stabilité de la vie socialiste ... Et peu importe le genre de famille qui existe relations - même si elles vont se débattre, mais elles ne peuvent pas supporter le linge sale en public, ne gâchent pas les statistiques des divorces et ne sapent pas le mythe selon lequel la famille soviétique est la plus durable du monde! Le tribunal a pratiquement réconcilié les époux, qui souvent ont littéralement supplié de les divorcer - et sont toujours partis sans rien ... Mais vous ne pouvez pas vous cacher des enfants! Et les enfants, comme vous le savez, prennent leur tout premier exemple de leurs parents. Maintenant, nous demandons, où avons-nous obtenu une telle génération de descendants brutaux de vingt ans, insensibles à la douleur des autres, capables de vol, de violence et même de meurtre ...
Vivre ensemble pour le bien des enfants n'est pas nécessaire, mais divorcer est calme, si la situation est psychologiquement irréversible, c'est d'abord nécessaire pour le bien des enfants! L'enfant n'a pas besoin de donner, mais des parents heureux.

Bien sûr, la position «pour le bien des enfants» a de nombreuses nuances sémantiques. Hélas, souvent les époux qui ne veulent pas s'impliquer dans le processus de divorce se cachent simplement derrière les enfants: ils disent comment priver un enfant d'un père ou d'une mère ... Je ne veux pas perdre une certaine position sociale ou une richesse matérielle. Et dans ce cas, il est souvent justifié que le divorce soit impossible à cause des enfants. Et les enfants n'y sont pour rien ...
Mais cela se passe différemment. Parfois, le conjoint (le plus souvent le conjoint) vit avec les mal-aimés, souffrant et souffrant - mais vraiment pour le bien de l'enfant. Plus précisément - pour son support matériel. Hélas, de nombreuses mères croient que la nourriture, les jouets et les vêtements sont l'élément déterminant du bonheur de l'enfant. Et si une mère laisse son mari mal aimé mais aisé, surtout pendant le chômage actuel, son enfant restera froid et affamé ... Alors elle vit avec son mari, si je puis dire: elle vit, excusez-moi, comme une femme achetée: elle subit l'humiliation de son mari pour lui d'argent.
Et toutes les mères dans une telle situation ne pensent pas qu'elles causent la douleur la plus intense non pas à elle-même - mais à celle dont elle souffre (et parfois même se considère comme une "mère héroïne") - à son enfant . Une telle situation dans la famille contribue autant que possible au traumatisme des enfants. Et le bonheur de l'enfant n'est pas seulement sa nourriture et ses vêtements, mais aussi un climat favorable dans la famille. Après avoir divorcé du conjoint détesté, la mère dans la plupart des cas apportera à l'enfant beaucoup plus d'avantages que si elle lui montre constamment les querelles parentales. Pensez-vous que le bébé est content de voir comment le père humilie sa mère, et comment la mère se déverse secrètement sur les pelures de son père? Et aussi (à Dieu ne plaise) dans dix à quinze ans, la mère forcera cet enfant à "payer les factures": j'ai renoncé à mon propre bonheur pour vous, et vous, ingrat! ... Oui, un enfant avec un tel divorce peut perdre en soutien matériel - mais en Dans ce cas, maman peut s'occuper activement de chercher du travail. Et ne dites pas qu'ils n'emmèneront nulle part avec un enfant! Comme on dit, il y aurait un désir ... Et l'enfant dans ce cas sera certainement beaucoup plus heureux que dans une famille riche mais intense.
...
Le problème est que c'est dans notre société avec sa spécificité de divorce que de rares rencontres avec un autre parent peuvent nuire gravement à l'enfant. Parce que dans une telle situation, l'enfant devient très souvent un moyen de clarifier les relations des ex-conjoints et leur impact les uns sur les autres. Cela se produit lorsque le couple a divorcé, mais ne s'est pas complètement dispersé. Il ne s’agit même pas de savoir s’ils sont partis pour des logements différents: tout simplement, chacun d’eux est toujours émotionnellement affecté par la vie personnelle de l’autre, ils ne sont pas encore capables de se traiter avec une indifférence totale, comme un étranger. C’est ce que signifie psychologiquement «pas un divorce final».
Et comme dans les traditions de notre divorce, il est impératif de s'abreuver de boue - dans le cas où les parents s'éloignent physiquement les uns des autres et que l'enfant est l'un ou l'autre - il devient littéralement porteur de cette même saleté psychologique. Et puis on leur demande directement de dire à l'enfant que son père ou sa mère est tel ou tel ... Chaque parent parle d'autres choses désagréables, mais à quoi ressemble l'enfant? Et dans ce cas, si les époux ne peuvent pas se comporter comme des adultes intelligents et ne peuvent pas communiquer de sang-froid, il vaut mieux que l'enfant vive avec un parent et ne voit pas du tout l'autre.

Naritsyn NN, psychothérapeute, psychanalyste, extrait du livre "Mariage-divorce et vice versa"
 
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Именно потому, что при разводе супруги не могут зачастую подойти к "разделу" ребенка грамотно, и считается, что развод родителей для детей непременно становится психотравмой. На самом же деле дети наверняка спокойно отнесутся к этому, если столь же спокойно воспринимают этот факт сами родители. Но в том-то и беда, что развод при наличии детей происходит уже на такой стадии, когда нет возможности рассуждать логически - потому что затянули ситуацию до предела. Вообще такое бывает часто: ситуация в семье уже более чем кризисная, но супруги отчаянно сохраняют эту семью "ради детей". Оправданны ли такие жертвы?

Даже если родители будут свой разлад тщательно скрывать, дети все равно заметят. Мы уже говорили о том, что у детей очень развито бессознательное, и они лучше всех воспринимают подспудные признаки напряжения в семье. Разумеется, что ни о каком родительском счастье речь не идет если между матерью и отцом постоянные трения, напряженность, холодная и даже горячая война. И если уж предразводная ситуация создалась в семье, где есть дети, супругам необходимо прежде всего ответить на один вопрос: где они сами - они, отец и мать этих детей - будут больше счастливы: в этой семье или вне ее?

Если за счастье детей приходится именно бороться, и получается, что родительское счастье именно в этом союзе уже практически недостижимо - развод станет спасением и для родителей, и для детей. Да, это травма для ребенка, но еще бОльшая травма - наблюдать, как ссорятся и отдаляются друг от друга те люди, которых он считал единым и неделимым целым. Причем ребенку вредят как откровенные драки между родителями, так и молчаливая напряженность между ними.
И в любом случае неуважение между родителями, отсутствие честности и доверия, а то и прямые физические действия (и прочие признаки запущенной предразводной ситуации) приводят к тому, что дети вырастают с убеждением, что подобные отношения допускаются и между прочими людьми в жизни. Ребенок считает вполне допустимым и обман, и моральное унижение другого, и физическое насилие для достижения своих целей. Дети вырастают не с самой лучшей моделью поведения - как сейчас говорят, достаточно криминализированные.
В частности, двадцать лет назад бытовало убеждение, что семью нужно сохранять любой ценой - кто говорил, что ради детей, кто утверждал, что ради сохранения нравственности, а кто-то утверждал, что ради стабильности социалистического быта… И неважно, какие там в семье отношения - пусть хоть передерутся, но не выносят сор из избы, не портят статистику разводов и не подрывают миф о том, что советская семья - самая прочная в мире! Суд практически в обязательном порядке мирил супругов, которые зачастую буквально умоляли развести их - и все равно уходили ни с чем… Уходили жить, "не вынося сор из избы" - напряженно и озлобленно. Но от детей ведь не спрячешься! А дети, как известно, свой самый первый пример берут с родителей. Теперь же мы спрашиваем, откуда у нас такое поколение жестоких двадцатилетних отпрысков, нечувствительных к чужой боли, способных на воровство, насилие и даже убийство…
Жить вместе ради детей не нужно, а вот развестись спокойно, если ситуация психологически необратима, нужно в первую очередь ради детей! Ребенку нужны не жертвующие, а счастливые родители.

Разумеется, позиция "ради детей" имеет много смысловых нюансов. Увы, часто супруги, не желающие связываться с самим процессом развода, просто-напросто прикрываются детьми: мол, как же можно лишать ребенка отца или матери… А бывает, что юридически расставаться с супругом, который на самом деле таковым остался лишь на бумаге, не хочется, чтобы не потерять определенное социальное положение или материальные блага. И в этом случае частенько оправдываются, что развод невозможен из-за детей. А дети как раз и ни при чем…
Но случается и по-другому. Иногда супруг (чаще всего супруга) живет с нелюбимым, страдая и мучаясь - но действительно ради ребенка . Точнее - ради его материального обеспечения. Увы, многие матери считают, что определяющим элементом детского счастья являются еда, игрушки и одежда. И если мама уйдет от нелюбимого, но обеспеченного мужа, особенно в период нынешней безработицы, ее ребенок останется холодным и голодным… Вот и живет она со своим, с позволения сказать, мужем: живет, извините, как купленная женщина: терпит унижения мужа ради его денег.
И не каждая мать в такой ситуации задумывается, что самую острую боль она причиняет не себе - а тому, ради кого терпит (и даже иногда считает себя "матерью-героиней") - своему ребенку. Такая ситуация в семье как нельзя больше способствует детским психотравмам. И счастье ребенка - не только его еда и одежда, а еще и благополучный климат в семье. Разведясь с ненавистным супругом, мать в большинстве случаев принесет ребенку гораздо большее благо, чем если будет постоянно демонстрировать ему родительские распри. Вы думаете, малышу приятно смотреть, как отец унижает его мать, и как мать втихомолку поливает на все корки отца? А еще (не дай Бог) лет через десять-пятнадцать мама заставит этого ребенка "платить по счетам": я ради тебя отказалась от собственного счастья, а ты, неблагодарный!… Да, ребенок при таком разводе может потерять в материальном обеспечении - но в этом случае мама может позаботиться и о том, чтобы активно поискать работу. И не нужно говорить, что никуда не возьмут с ребенком! Как говорится, было бы желание… И ребенок в этом случае будет наверняка гораздо счастливее, чем в обеспеченной, но напряженной семье.

Беда в том, что именно в нашем обществе с его спецификой разводов редкие встречи с другим родителем могут нанести ребенку серьезный вред. Потому что в такой ситуации ребенок очень часто становится средством для выяснения отношений бывших супругов и их воздействия друг на друга. Так бывает, когда супруги развелись, но не разошлись окончательно. Дело даже не в том, разъехались ли они по разным жилищам: просто каждого из них еще эмоционально задевает личная жизнь другого, они еще не способны относиться друг к другу с полным равнодушием, как к чужому человеку. Вот что значит психологически "не окончательный развод".
А поскольку в традициях нашего развода непременно поливать друг друга грязью - в случае, когда родители физически отдалились друг от друга и ребенок бывает то у одного, то у второго - он становится буквальным переносчиком этой самой психологической грязи. А то напрямую просят передать ребенка, что его папа или мама такой-то и такая-то… Каждый родитель рассказывает про другого гадости, а ребенку каково? И в этом случае, если супруги не могут вести себя как взрослые интеллигентные люди и не могут хладнокровно общаться - лучше, если ребенок живет у одного родителя и со вторым не видится вообще.

Нарицын Н.Н., врач-психотерапевт, психоаналитик, из книги "Свадьба-развод и наоборот"

Матушкин Андрей Николаевич

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Certainement un bon article. Toutes les positions écrites de la pratique.
 
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Однозначно, хорошая статья. Все написанные позиции из практики.

Матушкин Андрей Николаевич

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Орлан

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Dans tous les cas, le divorce des parents est un très gros traumatisme pour un enfant mineur, peu importe le calme du divorce lui-même. Mieux vaut ne pas permettre cela. Si vous avez décidé de «fonder» une famille, allez jusqu'au bout.
 
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В любом случае развод родителей - очень большая травма для несовершеннолетнего ребенка, не зависимо от того насколько спокойно пройдет сам развод. Лучше не допускать этого. Если надумал "обзавестись" семьей - так иди уже до конца.

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