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Yuri Grigoriev, qui s'est échappé de la colonie, se cachait dans un appartement loué. Le criminel a été tué quand il a résisté
Au milieu d'une journée de travail à Samara, une urgence retentissante s'est produite. "Komsomolskaya Pravda" a été informé que dans la maison 53 de la rue, un homme d'âge moyen jette des grenades dans la cour.
Tout s'est passé dans l'habituel Khrouchtchev à quatre étages vers 16 heures. En entendant les explosions, les habitants des maisons voisines sont sortis. Les résidents de la maison se souviennent: le matin avec le «même» 39e appartement, un homme aux croûtes rouges est intervenu:
«J'ai demandé si un homme trapu avec une barbe vit là-bas», disent les gens. - Et que dites-vous avec certitude si le propriétaire loue un appartement? Récemment, une sorte de chauffeur y vivait ...
L'alarme due aux explosions a été déclenchée par les vendeurs d'une épicerie située à l'intersection des rues Srednesadovaya et Volskaya.
Les habitants des maisons voisines ont également entendu des explosions. Qui sont deux, qui sont trois. Mais s'il s'agissait d'explosions de grenades, c'est une grande question. A l'entrée, cependant, ainsi que dans un "mauvais" appartement au 2ème étage, des vitres ont été cassées, mais il n'y avait aucun signe d'explosion. Autour de la maison et dans l'entrée, à l'exception des fragments de verre, aucun dommage n'est visible.
Selon la version officielle, le récidiviste Youri Grigoryev, qui figurait sur la liste des personnes recherchées par le gouvernement fédéral, lançait des grenades. La police a identifié le délinquant. Le détachement de Sobr est parti prendre Yuri Grigoriev. Lorsque la police a commencé à prendre d'assaut l'appartement, le délinquant a résisté. Il a d'abord commencé à tirer avec un pistolet, puis a lancé une grenade. Les agents se sont retirés sur le palier. Puis Grigoryev a lancé trois autres grenades. Ils ont tous explosé. Mais les employés de SOBR ont été sauvés par des boucliers.
- Nous savions que Yuri Grigoryev résisterait. Il n'allait pas se rendre vivant, - a commenté le chef de la direction centrale des affaires intérieures de la région de Samara Yuri Sterlikov. - Le criminel a été liquidé après une agression répétée contre l'appartement.
Les combattants du SOBR ont ouvert le feu sur Yuri Grigoryev pour tuer. En conséquence, le délinquant a été tué. Mais il y a eu des blessés par la police. L'un des combattants du SOBR a été blessé par des éclats d'obus à la jambe et à l'obus.
Yuri Grigoriev a été le premier tueur aguerri, qui a pu arrêter, et par stupidité. C'était en novembre 1997. Vers sept heures du soir, Grigoriev a été arrêté par les surnoms du PPS juste après la commission du crime.
Toute l'histoire a été jouée dans la rue Polevaya, dans le quartier de l'hôpital Pirogov. Puis, dans une voiture Nisan, deux représentants de Novokuybyshevsk, bien connus dans le monde criminel, ont été abattus - Yevgeny Lisin et Marat Baganov. Selon des rumeurs, ils seraient arrivés au numéro 88 de la maison Polevoy "à la flèche". Grigoryev les a abattus plus de 10 fois d'un pistolet avec un silencieux. Après avoir terminé les travaux, le tueur est parti calmement sur la rue Polevaya. Et quelque chose d'intéressé des policiers patrouillant dans la rue.
S'éloignant de la persécution, il s'est transformé en territoire de Pirogovka et a tenté de tirer sur la police. Mais le tueur a laissé la cartouche coincée. Selon la rumeur, il a utilisé le parabellum "mec".
Le résultat a été une détention bruyante, puis une enquête, tenue à bout de souffle par la moitié de Samara et un tribunal tout aussi prestigieux, qui, le 29 juin 1998, a envoyé le tueur en prison dans la région de Belogorodsk pour mettre fin à une peine de 20 ans.
Mais le 4 décembre 2011, Grigoriev a réussi à s'échapper de la colonie n ° 4. Il a été inscrit sur la liste fédérale des personnes recherchées. Pendant quelque temps, on n'a rien entendu de lui jusqu'à ce que les enquêteurs le découvrent: le délinquant loue un appartement dans la maison n ° 53 sur la rue Sredne-Sadovaya, se faisant passer pour le nom de quelqu'un d'autre.
3 heures après l'incident, des témoins oculaires ont été interrogés, des mineurs ont examiné l'appartement et l'entrée, le cordon a été retiré. Les résidents de l'entrée dispersée sont retournés à l'appartement. Maintenant, ils se soucient d'une chose: s'ils devront passer le reste de l'hiver dans des appartements froids. Il y a du givre dans la cour, et il n'y a pas une seule fenêtre entière dans l'entrée.
Le lien n'est pas valide
Au milieu d'une journée de travail à Samara, une urgence retentissante s'est produite. "Komsomolskaya Pravda" a été informé que dans la maison 53 de la rue, un homme d'âge moyen jette des grenades dans la cour.
Tout s'est passé dans l'habituel Khrouchtchev à quatre étages vers 16 heures. En entendant les explosions, les habitants des maisons voisines sont sortis. Les résidents de la maison se souviennent: le matin avec le «même» 39e appartement, un homme aux croûtes rouges est intervenu:
«J'ai demandé si un homme trapu avec une barbe vit là-bas», disent les gens. - Et que dites-vous avec certitude si le propriétaire loue un appartement? Récemment, une sorte de chauffeur y vivait ...
L'alarme due aux explosions a été déclenchée par les vendeurs d'une épicerie située à l'intersection des rues Srednesadovaya et Volskaya.
Les habitants des maisons voisines ont également entendu des explosions. Qui sont deux, qui sont trois. Mais s'il s'agissait d'explosions de grenades, c'est une grande question. A l'entrée, cependant, ainsi que dans un "mauvais" appartement au 2ème étage, des vitres ont été cassées, mais il n'y avait aucun signe d'explosion. Autour de la maison et dans l'entrée, à l'exception des fragments de verre, aucun dommage n'est visible.
Selon la version officielle, le récidiviste Youri Grigoryev, qui figurait sur la liste des personnes recherchées par le gouvernement fédéral, lançait des grenades. La police a identifié le délinquant. Le détachement de Sobr est parti prendre Yuri Grigoriev. Lorsque la police a commencé à prendre d'assaut l'appartement, le délinquant a résisté. Il a d'abord commencé à tirer avec un pistolet, puis a lancé une grenade. Les agents se sont retirés sur le palier. Puis Grigoryev a lancé trois autres grenades. Ils ont tous explosé. Mais les employés de SOBR ont été sauvés par des boucliers.
- Nous savions que Yuri Grigoryev résisterait. Il n'allait pas se rendre vivant, - a commenté le chef de la direction centrale des affaires intérieures de la région de Samara Yuri Sterlikov. - Le criminel a été liquidé après une agression répétée contre l'appartement.
Les combattants du SOBR ont ouvert le feu sur Yuri Grigoryev pour tuer. En conséquence, le délinquant a été tué. Mais il y a eu des blessés par la police. L'un des combattants du SOBR a été blessé par des éclats d'obus à la jambe et à l'obus.
Yuri Grigoriev a été le premier tueur aguerri, qui a pu arrêter, et par stupidité. C'était en novembre 1997. Vers sept heures du soir, Grigoriev a été arrêté par les surnoms du PPS juste après la commission du crime.
Toute l'histoire a été jouée dans la rue Polevaya, dans le quartier de l'hôpital Pirogov. Puis, dans une voiture Nisan, deux représentants de Novokuybyshevsk, bien connus dans le monde criminel, ont été abattus - Yevgeny Lisin et Marat Baganov. Selon des rumeurs, ils seraient arrivés au numéro 88 de la maison Polevoy "à la flèche". Grigoryev les a abattus plus de 10 fois d'un pistolet avec un silencieux. Après avoir terminé les travaux, le tueur est parti calmement sur la rue Polevaya. Et quelque chose d'intéressé des policiers patrouillant dans la rue.
S'éloignant de la persécution, il s'est transformé en territoire de Pirogovka et a tenté de tirer sur la police. Mais le tueur a laissé la cartouche coincée. Selon la rumeur, il a utilisé le parabellum "mec".
Le résultat a été une détention bruyante, puis une enquête, tenue à bout de souffle par la moitié de Samara et un tribunal tout aussi prestigieux, qui, le 29 juin 1998, a envoyé le tueur en prison dans la région de Belogorodsk pour mettre fin à une peine de 20 ans.
Mais le 4 décembre 2011, Grigoriev a réussi à s'échapper de la colonie n ° 4. Il a été inscrit sur la liste fédérale des personnes recherchées. Pendant quelque temps, on n'a rien entendu de lui jusqu'à ce que les enquêteurs le découvrent: le délinquant loue un appartement dans la maison n ° 53 sur la rue Sredne-Sadovaya, se faisant passer pour le nom de quelqu'un d'autre.
3 heures après l'incident, des témoins oculaires ont été interrogés, des mineurs ont examiné l'appartement et l'entrée, le cordon a été retiré. Les résidents de l'entrée dispersée sont retournés à l'appartement. Maintenant, ils se soucient d'une chose: s'ils devront passer le reste de l'hiver dans des appartements froids. Il y a du givre dans la cour, et il n'y a pas une seule fenêtre entière dans l'entrée.
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Original message
Сбежавший из колонии Юрий Григорьев прятался на съемной квартире. Преступника убили, когда он оказывал сопротивление
В самый разгар рабочего дня в Самаре произошло громкое ЧП. "Комсомолке" сообщили, в доме 53 по улице Среднесадовая мужчина бросает во двор гранаты.
Все произошло в обычной четырехэтажке-хрущевке около 4 часов дня. Услышав взрывы, жители окрестных домов вышли на улицу. Жильцы дома вспоминают: утром "той самой" 39 квартирой интерсовался мужчина с красными корочками:
- Расспрашивал, не живет ли там коренастый мужик с бородкой, - рассказывают люди. - А как скажешь наверняка, если хозяин квартиру сдает? В последнее время там вроде водители какие-то жили...
Тревогу из-за взрывов подняли продавцы продуктового магазина, располагающегося на пересечении улиц Среднесадовая и Вольская.
Жители соседних домов тоже слышали взрывы. Кто два, кто три. Вот только были ли это взрывы гранат - большой вопрос. В подъезде, впрочем, как и в "плохой" квартире на 2 этаже, выбиты стекла, но следов взрыва нет. Вокруг дома и в подъезде, кроме осколков стекла, никаких разрушений не видно.
По официальной версии, гранатами швырялся рецидивист Юрий Григорьев, который находился в федеральном розыске. Полицейские вычислили преступника. Брать Юрия Григорьева отправился отряд СОБРа. Когда полицейские приступили к штурму квартиры, преступник оказал сопротивление. Сначала начал стрелять из пистолета, а затем бросил гранату. Оперативники отступили к лестничной площадке. Тогда Григорьев бросил еще три гранаты. Все они взорвались. Но сотрудников СОБРа спасли щиты.
- Мы знали, что Юрий Григорьев будет оказывать сопротивление. Живым он сдаваться не собиралися, - прокомментировал глава ГУВД Самарской области Юрий Стерликов. - Преступник был ликвидирован после повторного штурма квартиры.
Бойцы СОБРа открыли по Юрию Григорьеву огонь на поражение. В итоге преступник был убит. Но не обошлось и без пострадавших со стороны полицейских. Один из бойцов СОБРа получил осколочное ранение ноги и контузию.
Юрий Григорьев оказался первым матерым киллером, которого сумели задержать, причем по глупости. Дело было в ноябре 1997 года. Около семи часов вечера Григорьев был задержан ППС-никами буквально сразу после совершения преступления.
Разыгралась вся история на улице Полевой, в районе больницы имени Пирогова. Тогда в автомобиле Нисан были застрелены два хорошо известных в криминальном мире представителя Новокуйбышевска – Евгений Лисин и Марат Баганов. По слухам, они приехали к дому № 88 по Полевой «на стрелку». Стрелял в них Григорьев более 10 раз из пистолета с глушителем. Выполнив работу, киллер спокойно отправился вниз по улице Полевой. И чем-то заинтересовал патрулирующих улицу сотрудников милиции.
Уходя от преследования, он свернул на территорию «Пироговки» и попытался выстрелить в милиционеров. Но киллера подвел заклинивший патрон. Поговаривают, он пользовался «пижонским» парабеллумом.
Результат - громкое задержание, потом расследование, за которым, затаив дыхание, следила половина Самары и не менее громкий суд, который 29 июня 1998 года отправил киллера за решетку в Белогородскую область мотать 20-летний срок.
Но 4 декабря 2011 года Григорьев умудрился бежать из колонии №4. Его объявили в федеральный розыск. Некотрое время о нем ничего не было слышно, пока оперативники не выяснили: преступник снимает квартиру в доме №53 по улице Средне-Садовая, представляясь чужим именем.
Через 3 часа после ЧП очевидцы были опрошены, квартиру и подъезд осмотрели минеры, оцепление снято. Жители развороченного подъезда вернулись в квартиры. Теперь их волнует одно: не придется ли остаток зимы провести в выстуженных квартираах. На дворе мороз, а в подъезде нет ни одного целого окна.
Ссылка не действительна
В самый разгар рабочего дня в Самаре произошло громкое ЧП. "Комсомолке" сообщили, в доме 53 по улице Среднесадовая мужчина бросает во двор гранаты.
Все произошло в обычной четырехэтажке-хрущевке около 4 часов дня. Услышав взрывы, жители окрестных домов вышли на улицу. Жильцы дома вспоминают: утром "той самой" 39 квартирой интерсовался мужчина с красными корочками:
- Расспрашивал, не живет ли там коренастый мужик с бородкой, - рассказывают люди. - А как скажешь наверняка, если хозяин квартиру сдает? В последнее время там вроде водители какие-то жили...
Тревогу из-за взрывов подняли продавцы продуктового магазина, располагающегося на пересечении улиц Среднесадовая и Вольская.
Жители соседних домов тоже слышали взрывы. Кто два, кто три. Вот только были ли это взрывы гранат - большой вопрос. В подъезде, впрочем, как и в "плохой" квартире на 2 этаже, выбиты стекла, но следов взрыва нет. Вокруг дома и в подъезде, кроме осколков стекла, никаких разрушений не видно.
По официальной версии, гранатами швырялся рецидивист Юрий Григорьев, который находился в федеральном розыске. Полицейские вычислили преступника. Брать Юрия Григорьева отправился отряд СОБРа. Когда полицейские приступили к штурму квартиры, преступник оказал сопротивление. Сначала начал стрелять из пистолета, а затем бросил гранату. Оперативники отступили к лестничной площадке. Тогда Григорьев бросил еще три гранаты. Все они взорвались. Но сотрудников СОБРа спасли щиты.
- Мы знали, что Юрий Григорьев будет оказывать сопротивление. Живым он сдаваться не собиралися, - прокомментировал глава ГУВД Самарской области Юрий Стерликов. - Преступник был ликвидирован после повторного штурма квартиры.
Бойцы СОБРа открыли по Юрию Григорьеву огонь на поражение. В итоге преступник был убит. Но не обошлось и без пострадавших со стороны полицейских. Один из бойцов СОБРа получил осколочное ранение ноги и контузию.
Юрий Григорьев оказался первым матерым киллером, которого сумели задержать, причем по глупости. Дело было в ноябре 1997 года. Около семи часов вечера Григорьев был задержан ППС-никами буквально сразу после совершения преступления.
Разыгралась вся история на улице Полевой, в районе больницы имени Пирогова. Тогда в автомобиле Нисан были застрелены два хорошо известных в криминальном мире представителя Новокуйбышевска – Евгений Лисин и Марат Баганов. По слухам, они приехали к дому № 88 по Полевой «на стрелку». Стрелял в них Григорьев более 10 раз из пистолета с глушителем. Выполнив работу, киллер спокойно отправился вниз по улице Полевой. И чем-то заинтересовал патрулирующих улицу сотрудников милиции.
Уходя от преследования, он свернул на территорию «Пироговки» и попытался выстрелить в милиционеров. Но киллера подвел заклинивший патрон. Поговаривают, он пользовался «пижонским» парабеллумом.
Результат - громкое задержание, потом расследование, за которым, затаив дыхание, следила половина Самары и не менее громкий суд, который 29 июня 1998 года отправил киллера за решетку в Белогородскую область мотать 20-летний срок.
Но 4 декабря 2011 года Григорьев умудрился бежать из колонии №4. Его объявили в федеральный розыск. Некотрое время о нем ничего не было слышно, пока оперативники не выяснили: преступник снимает квартиру в доме №53 по улице Средне-Садовая, представляясь чужим именем.
Через 3 часа после ЧП очевидцы были опрошены, квартиру и подъезд осмотрели минеры, оцепление снято. Жители развороченного подъезда вернулись в квартиры. Теперь их волнует одно: не придется ли остаток зимы провести в выстуженных квартираах. На дворе мороз, а в подъезде нет ни одного целого окна.
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