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Le vol banal dans le restaurant "Maximilian" dans la nuit du 11 juin au vu des détails n'était pas si banal. Au cours de l'enquête sur un raid apparemment simple, les enquêteurs ont soudainement découvert des traces de haute technologie, à la suite de quoi le chef de la sécurité du restaurant a joué du côté des innovateurs du crime.
Le téléphone du chef du service de sécurité de la chaîne de restaurants "Maximilian" a sonné vers trois heures et demie du matin du 11 juin, le numéro de son employé était affiché sur l'écran. Le patron a entendu une voix familière qui a expliqué que vous devez apporter des choses au restaurant du 141, rue Savushkina, dans le centre commercial Mercury. Expliquons que, conformément à la procédure établie, un gardien était de nuit dans le restaurant, qui ne pouvait ouvrir la porte que sur les instructions du chef du Conseil de sécurité. Ne voyant pas le hic, le chef de la sécurité a rappelé au restaurant, une instruction a été donnée.
Dès que le gardien a ouvert la porte, trois ont fait irruption dans la pièce. Les gardiens ont été attachés, deux boîtes métalliques avec un demi-million de roubles, six ordinateurs et des unités d'enregistrement vidéo du système ont été retirés du restaurant, après quoi ils ont disparu en toute sécurité.
Au petit matin, le chef du Conseil de sécurité "Maximiliana" a expliqué ce qui est arrivé aux enquêteurs criminels. Ce qui est incompréhensible, c'est que l'employé, qui aurait demandé à ouvrir un restaurant la nuit, a affirmé qu'il n'avait appelé personne et ne comprenait pas de quoi il s'agissait. Le chef de la sécurité a dévoilé son téléphone portable, dont le souvenir reflétait les appels: voici un appel entrant d'un employé, voici un appel sortant à un gardien. Le point litigieux était le système de facturation de l'entreprise de téléphonie cellulaire.
L'appel entrant au chef de la sécurité a eu lieu la nuit. Mais lors de la détermination du numéro de l'appelant au lieu du numéro de l'abonné mobile, le technicien a émis une longue série de chiffres indiquant un appel à l'aide d'un ordinateur. Dans le combiné, cependant, l'appel se reflétait sous la forme d'un numéro familier.
Jusqu'à présent, cette technologie était utilisée par les farceurs. Simplement, par téléphone, des hooligans qui, sous le couvert de quelqu'un d'autre, appellent des gens célèbres ou pas si bons, ce qui les rend francs ou émus. Les personnes célèbres, à leur tour, ne sont pas pressées de répondre aux appels d'étrangers. Les technologies aident - selon les experts, pour l'appareil qui émettra un numéro donné sur le téléphone de l'abonné appelé, les artisans devront payer environ 100 000 roubles. Le prix est Moscou, mais à Saint-Pétersbourg, il est peu probable qu'il soit beaucoup plus cher. La tâche d'un farceur téléphonique est simplifiée: il suffit de connaître le numéro d'un ami, pendant l'appel dont le «client» va probablement décrocher le téléphone. Reste des compétences d'acteur - timbre, vocabulaire et persuasion. Comme le montre la pratique, ce problème est résolu. En conséquence, des personnes très difficiles et prudentes discutent ouvertement avec les farceurs, et la porte de l’argent du restaurant est ouverte par une équipe responsable de la sécurité de cet argent.
Avec des appels massifs de victimes potentielles avec des options comme «maman, c'est moi, ton fils, je suis entré dans la police, tu as besoin d'argent» - l'option ne fonctionne pas. Pour un résultat correct, vous devez connaître au moins le numéro de celui dont vous introduisez le nom - au lieu d'une telle minutie lors des appels, «aléatoire» est plus facile à prendre en quantité. Mais dans une opération séparée avec la perspective d'un jackpot décent, le coût de l'équipement est clairement payant. Pour être honnête, je n'ai jamais rencontré de méthode similaire dans la pratique.
Selon le site https://www.fontanka.ru
Le téléphone du chef du service de sécurité de la chaîne de restaurants "Maximilian" a sonné vers trois heures et demie du matin du 11 juin, le numéro de son employé était affiché sur l'écran. Le patron a entendu une voix familière qui a expliqué que vous devez apporter des choses au restaurant du 141, rue Savushkina, dans le centre commercial Mercury. Expliquons que, conformément à la procédure établie, un gardien était de nuit dans le restaurant, qui ne pouvait ouvrir la porte que sur les instructions du chef du Conseil de sécurité. Ne voyant pas le hic, le chef de la sécurité a rappelé au restaurant, une instruction a été donnée.
Dès que le gardien a ouvert la porte, trois ont fait irruption dans la pièce. Les gardiens ont été attachés, deux boîtes métalliques avec un demi-million de roubles, six ordinateurs et des unités d'enregistrement vidéo du système ont été retirés du restaurant, après quoi ils ont disparu en toute sécurité.
Au petit matin, le chef du Conseil de sécurité "Maximiliana" a expliqué ce qui est arrivé aux enquêteurs criminels. Ce qui est incompréhensible, c'est que l'employé, qui aurait demandé à ouvrir un restaurant la nuit, a affirmé qu'il n'avait appelé personne et ne comprenait pas de quoi il s'agissait. Le chef de la sécurité a dévoilé son téléphone portable, dont le souvenir reflétait les appels: voici un appel entrant d'un employé, voici un appel sortant à un gardien. Le point litigieux était le système de facturation de l'entreprise de téléphonie cellulaire.
L'appel entrant au chef de la sécurité a eu lieu la nuit. Mais lors de la détermination du numéro de l'appelant au lieu du numéro de l'abonné mobile, le technicien a émis une longue série de chiffres indiquant un appel à l'aide d'un ordinateur. Dans le combiné, cependant, l'appel se reflétait sous la forme d'un numéro familier.
Jusqu'à présent, cette technologie était utilisée par les farceurs. Simplement, par téléphone, des hooligans qui, sous le couvert de quelqu'un d'autre, appellent des gens célèbres ou pas si bons, ce qui les rend francs ou émus. Les personnes célèbres, à leur tour, ne sont pas pressées de répondre aux appels d'étrangers. Les technologies aident - selon les experts, pour l'appareil qui émettra un numéro donné sur le téléphone de l'abonné appelé, les artisans devront payer environ 100 000 roubles. Le prix est Moscou, mais à Saint-Pétersbourg, il est peu probable qu'il soit beaucoup plus cher. La tâche d'un farceur téléphonique est simplifiée: il suffit de connaître le numéro d'un ami, pendant l'appel dont le «client» va probablement décrocher le téléphone. Reste des compétences d'acteur - timbre, vocabulaire et persuasion. Comme le montre la pratique, ce problème est résolu. En conséquence, des personnes très difficiles et prudentes discutent ouvertement avec les farceurs, et la porte de l’argent du restaurant est ouverte par une équipe responsable de la sécurité de cet argent.
Avec des appels massifs de victimes potentielles avec des options comme «maman, c'est moi, ton fils, je suis entré dans la police, tu as besoin d'argent» - l'option ne fonctionne pas. Pour un résultat correct, vous devez connaître au moins le numéro de celui dont vous introduisez le nom - au lieu d'une telle minutie lors des appels, «aléatoire» est plus facile à prendre en quantité. Mais dans une opération séparée avec la perspective d'un jackpot décent, le coût de l'équipement est clairement payant. Pour être honnête, je n'ai jamais rencontré de méthode similaire dans la pratique.
Selon le site https://www.fontanka.ru
Original message
Банальный грабеж в ресторане «Максимилиан» в ночь на 11 июня при рассмотрении деталей оказался не таким банальным. Оперативники в ходе расследования нехитрого вроде бы налета внезапно столкнулись со следами высоких технологий, в результате применения которых начальник службы безопасности ресторана сыграл на стороне инноваторов от преступности.
Телефон начальника службы безопасности сети ресторанов «Максимилиан» зазвонил около половины четвертого утра 11 июня, на дисплее высветился номер его сотрудника. Начальник услышал знакомый голос, который объяснил, что нужно занести кое-какие вещи в ресторан на улице Савушкина, 141, - в торговом центре «Меркурий». Поясним, что, по установленному порядку, ночью в ресторане находился охранник, который мог открыть дверь только по указанию начальника СБ. Не видя подвоха, главный по безопасности перезвонил в ресторан, указание было дано.
Как только охранник открыл дверь, в помещение ворвались трое. Сторожа связали, из ресторана забрали два металлических ящика с полумиллионом рублей, шесть компьютеров и системные блоки видеозаписи, после чего благополучно скрылись.
Ранним утром начальник СБ «Максимилиана» объяснял случившееся оперативникам уголовного розыска. Непонятное заключалось в том, что сотрудник, который якобы ночью просил открыть ресторан, утверждал, что никому не звонил, и о чем речь, не понимает. Начальник безопасности демонстрировал свой мобильный, в памяти которого отразились звонки: вот входящий вызов от сотрудника, вот исходящий охраннику. Точку в споре поставила биллинговая система сотовой компании.
Входящий звонок начальнику службы безопасности ночью был. Но при определении номера звонившего вместо номера абонента сотовой связи техника выдала длинный набор цифр, свидетельствующий о звонке с помощью компьютерного устройства. В телефонной трубке, тем не менее, звонок отразился в виде знакомого номера.
До сих пор эта технология использовалась пранкерами. Попросту — телефонными хулиганами, которые под чужой личиной звонят известным или не очень людям, вызывая их на откровенность или на эмоции. Известные люди, в свою очередь, не спешат отвечать на звонки незнакомых людей. Выручают технологии — по словам специалистов, за аппарат, который выдаст на телефон вызываемого абонента любой заданный номер, придется заплатить умельцам около 100 тысяч рублей. Цена московская, но в Петербурге вряд ли многим дороже. Задача телефонного шутника упрощается: достаточно знать номер знакомого, при звонке которого «клиент» наверняка снимет трубку. Остается актерское мастерство — тембр, лексика и убедительность. Как показывает практика, эта проблема решаема. В результате — весьма непростые и осторожные люди откровенничают с пранкерами, а дверь к деньгам ресторана открывается по команде отвечающего за безопасность этих самых денег.
При массовых обзвонах потенциальных потерпевших с вариантами вроде «мама, это я, твой сын, попал в полицию, нужны деньги» - вариант не работает. Для правильного результата нужно знать как минимум номер того, чьим именем представляешься, — вместо такой тщательности при звонках «наудачу» проще брать количеством. Но вот при отдельной операции с перспективой приличного куша затраты на технику явно окупаются. Если честно ни разу на практике не сталкивалась с подобным способом.
По материалам сайта https://www.fontanka.ru
Телефон начальника службы безопасности сети ресторанов «Максимилиан» зазвонил около половины четвертого утра 11 июня, на дисплее высветился номер его сотрудника. Начальник услышал знакомый голос, который объяснил, что нужно занести кое-какие вещи в ресторан на улице Савушкина, 141, - в торговом центре «Меркурий». Поясним, что, по установленному порядку, ночью в ресторане находился охранник, который мог открыть дверь только по указанию начальника СБ. Не видя подвоха, главный по безопасности перезвонил в ресторан, указание было дано.
Как только охранник открыл дверь, в помещение ворвались трое. Сторожа связали, из ресторана забрали два металлических ящика с полумиллионом рублей, шесть компьютеров и системные блоки видеозаписи, после чего благополучно скрылись.
Ранним утром начальник СБ «Максимилиана» объяснял случившееся оперативникам уголовного розыска. Непонятное заключалось в том, что сотрудник, который якобы ночью просил открыть ресторан, утверждал, что никому не звонил, и о чем речь, не понимает. Начальник безопасности демонстрировал свой мобильный, в памяти которого отразились звонки: вот входящий вызов от сотрудника, вот исходящий охраннику. Точку в споре поставила биллинговая система сотовой компании.
Входящий звонок начальнику службы безопасности ночью был. Но при определении номера звонившего вместо номера абонента сотовой связи техника выдала длинный набор цифр, свидетельствующий о звонке с помощью компьютерного устройства. В телефонной трубке, тем не менее, звонок отразился в виде знакомого номера.
До сих пор эта технология использовалась пранкерами. Попросту — телефонными хулиганами, которые под чужой личиной звонят известным или не очень людям, вызывая их на откровенность или на эмоции. Известные люди, в свою очередь, не спешат отвечать на звонки незнакомых людей. Выручают технологии — по словам специалистов, за аппарат, который выдаст на телефон вызываемого абонента любой заданный номер, придется заплатить умельцам около 100 тысяч рублей. Цена московская, но в Петербурге вряд ли многим дороже. Задача телефонного шутника упрощается: достаточно знать номер знакомого, при звонке которого «клиент» наверняка снимет трубку. Остается актерское мастерство — тембр, лексика и убедительность. Как показывает практика, эта проблема решаема. В результате — весьма непростые и осторожные люди откровенничают с пранкерами, а дверь к деньгам ресторана открывается по команде отвечающего за безопасность этих самых денег.
При массовых обзвонах потенциальных потерпевших с вариантами вроде «мама, это я, твой сын, попал в полицию, нужны деньги» - вариант не работает. Для правильного результата нужно знать как минимум номер того, чьим именем представляешься, — вместо такой тщательности при звонках «наудачу» проще брать количеством. Но вот при отдельной операции с перспективой приличного куша затраты на технику явно окупаются. Если честно ни разу на практике не сталкивалась с подобным способом.
По материалам сайта https://www.fontanka.ru